Le conseiller spécial du chef de l’Etat, Cissé Ibrahima Bacongo, s’époumone à expliquer avec une énergie débordantes dans la campagne référendaire, l’opportunité de la création du sénat prévu par la nouvelles constitution, le nombre et la nomination des 1/3 des sénateur par le président, le coût…« Non je ne sais pas pour le moment… On remarque qu’un tiers sera nommé par le président. Rassurez-vous. On s’effraie beaucoup avec le budget que cela va couter. Les gens qui ne payent même pas l’impôt parlent aussi. Les gens qui pour qui la fraude fiscale est un véritable sport, eux ils parlent aussi. Le président, quand même pour pouvez lui faire un forfait de confiance. Il est économiste du niveau qu’il a eu dans la finance internationale, il ne peut pas s’autoriser à créer une institution qui sera… » . « politikafrique.info ». Bacongo demande d'accorder une confiance aveugle au Président de la république. Autant dire qu’il n'y a aucun argument valable pour justifier cette création ?